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Il pourrait y avoir des images à l'infini.
Dans le mouvement du train,
quelques secondes qui se figent,
parfois un mouvement infime et c'est raté,
ou inversement, quelque chose se révèle,
comme l'alchimie des mots fait parfois poésie,
l'alchimie des pixels fait parfois une photographie...
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Façades aveugles qui tracent juste la forme des maisons.
Dispersion des volumes que l'on semble pouvoir saisir et repositionner, comme dans un jeu de construction...
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Autre série de paysages exposés : Traversée, qui exprime la sensation que j'ai eue qu'il n'était plus possible, pour représenter le paysage contemporain, de le contempler longuement pour le peindre (comme Daubigny et les autres paysagistes). Les transports nous font traverser le paysage comme un décor, la vitesse le rend flou et abstrait, insaisissable...
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